Titre issu de la tape gratuite "Greed Is Good" Dispo ici : http://hotelmoscou.bandcamp.com/ Pelo, je suis àl... Depuis des années que je ride pour les tasses et les damnés, Dévalise le rap pour des sacs de cames, ou même des grammes égarés Et l'état n'y peut rien, déjà l'état ne peux ap Je fume du végétal de beuh et pop une pill un peu up Toujours ma guerre est trop froide, noman, mon mic est trop chaud Mais je ne ressens plus aucun mal car ma came est trop forte. J'ai comblé le vide dans ma vie par l'objectif de sommet de pyramide, J'ai convié le fric à venir pour devenir ma petite amie Protège-moi donc de mon parcours, mon amour, protège-moi des flammes; Car je suis prêt à tous ce qui rapporte du flouze, rapportera des femmes. N'ai pas peur de l'oeil du triangle et craint l'oeil de Moscou, Mon boss couvre l'état, le rap, ricane des "au secours". Et autre chose : j'ai l'entière terre, je te laisse ton terter, Je découpe le map à l'équerre, c'est vrai que j'ai le son pour percer, black & decker La stratégie pour prophétie, une vision pour prophète, Complote pour conquérir de concert, c'est ça que le parti profère High à la Rolling Stone, héro de l'histoire, c'est ça le rôle d'une star, Si c'est de la sorcellerie, je roule une JK Rowling stack Brûle une pill de temestat, frappe, rendez-vous avec Medicine Man, car je prend des coups chaque jour Je m'entraîne à tuer mes rêves : y parvenir j'espère Un jour tu vas disparaître chérie, et moi, je resterai Les étoiles pleins les yeux, je me réveil Avec la lumière dans mon latin, Je suis Malin, je m'endors avec deux jumelles J'arrive, je fais des miracles avant que ne cesse le mirage Débouche la teille de sky pour moi, pour pas que je rate le virage Poète débile qui crie, je suis l'artiste des villes de crise, A l'aide de mon fil de vie, j'étrangle le beat à de multiple reprise Et l'avenir : c'est nous ; la musique : c'est nous ;l'art, le parfum, la physique, l'esthétique : c'est nous Je t'apporte pas de bonne nouvelle, je te porte l'oeil de Moscou Découvre donc le secret savoir que mes mots t'ouvrent, motus ! J'avais du mal à faire de mes envies des faits. Pareil man, je passe mes jours à compter comme Rainman, j' débraye cash Je fais ça pour toi, camarade, si on a perdu le contact Dans la jungle de ma life, moi j'ai su naviguer au compas Ici, rien ne sert de combattre ou de gagner Il faut tracer sa voie, il faut créer son rival soi-même Je traverse une mer de larmes pour me couvrir de soie et flannel Je me détruirai pour mes fans avant que ma gloire ne soit fânée... MOSCOU